Des médecins ,Maison Blanche prend des mesures pour exiger que des millions de travailleurs américains, comme les travailleurs fédéraux, les entrepreneurs et certains travailleurs de la santé, obtiennent un vaccin Covid-19.
L’hôpital général du comté de Lewis, à Lowville, à New York a annoncé vendredi qu’il sera incapable d’assurer la santé de tous car son département de maternité et sa pépinière nouveau-née sont fermés jusqu’au 25 septembre.
Selon le PDG de Lewis County Santé Cayer, les autres départements de l’hôpital sont également à risque si les travailleurs ne sont pas vaccinés. Vendredi, 30 employés avaient démissionné de l’Hôpital général du comté de Lewis. Au moins 464 personnes dans le système de santé du comté de Lewis ont été vaccinées – un taux de vaccination de 73% parmi les employés.
« Le nombre de démissions reçues ne nous laisse pas d’autre choix que de mettre en pause l’accouchement des bébés. » , apprend-on. Au moins une douzaine d’États exigent déjà la vaccination ou les tests réguliers des travailleurs de la santé.
En avril, le système hospitalier de Houston était parmi les premiers à exiger le vaccin. L’hôpital a perdu 150 employés qui ont refusé de se conformer.
À propos de la Maison Blanche, des médecins
La Maison Blanche est l’endroit où le président et la première famille des États-Unis vivent et travaillent – mais c’est aussi la Maison du peuple, où nous espérons que tous les Américains ressentent un sentiment d’inclusion et d’appartenance.
On peut penser que les fuites d’informations confidentielles, en raison de leur nature et de leur côté souvent spectaculaire, influencent les décisions de politique étrangère prises par le président des États-Unis et son entourage. Des exemples tels que les Pentagon Papers ou, plus récemment, la divulgation des actes de torture perpétrés à la prison d’Abou Ghraïb, semblent avoir contribué au changement de cap respectif des administrations Nixon et Bush au sujet du Vietnam et de l’Irak.
En y regardant de plus près, on constate cependant qu’il n’en est rien : les fuites n’ont que très peu d’influence sur la politique étrangère américaine. Pourtant, elles sont légion et très largement couvertes par les médias, comme en témoigne la grande popularité de WikiLeaks, organisme ayant comme objectif de révéler les secrets des gouvernements. Comment expliquer cette apparente contradiction ? En fait, les fuites constituent l’un des outils les plus utilisés pour manipuler le processus décisionnel et, par conséquent, agissent le plus souvent sur les mécanismes internes plutôt que sur la politique elle-même. Les fuites nous permettent d’avoir un aperçu des dissensions qui existent au sein de l’équipe décisionnelle et, quelquefois, nous aident à prédire l’orientation que prendra la politique étrangère au terme de ces luttes.
À l’aide d’études de cas provenant de toutes les administrations, depuis John F. Kennedy jusqu’à George W. Bush, cet ouvrage tente de démontrer, d’une part, dans quelles conditions les fuites peuvent influencer directement la formulation de la politique étrangère et, d’autre part, comment elles aident la compréhension du processus décisionnel entourant la formulation de la politique étrangère des États-Unis.
La Maison Blanche est le lieu où habite et travaille le président des États-Unis d’Amérique. C’est un bâtiment blanc qui se situe dans la capitale : Washington DC.
Par métonymie, la Maison Blanche désigne aussi le gouvernement américain et son entourage.
La construction de la résidence présidentielle est dûe à une décision de George Washington. Il décide en 1791, de suivre la recommandation de l’urbaniste Pierre-Charles L’Enfant, de faire édifier la résidence sur le bord d’une petite crique du fleuve Potomac. Le bâtiment a été construit entre 1792 et 1800 sur des plans de l’architecte James Hoban. L’appellation Maison Blanche vient du fait que sa construction en pierre de taille polie blanche contrastait avec les autres constructions des alentours qui étaient en briques rouges. Le premier habitant fut le président John Adams en 1800.
La maison Blanche a été détruite en 1814 du fait de la prise de la ville de Washington par les Britanniques au cours d’une guerre avec les États-Unis. En 1817, Hoban reconstruisit la résidence en ajoutant aux deux étages, des terrasses puis en 1824, la façade semi-circulaire au Sud et la façade à colonnade sur le côté Nord.